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Cacophonies élémentaires
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21 février 2011

La jouissance comme un délivrance?

Mode dérision: on

Selon les philosophes, le désir rend malheureux car on ne désire que ce que l’on n’a pas ! Ce constat me semble poussé à son paroxysme au cours de l’acte sexuel... 
V. disait : « si vous voulez obtenir quelque chose d’un homme, demandez le lui avant qu’il n’éjacule », un peu trivial, certes, mais tellement vrai…
Un de mes profs de physio disait plus prosaïquement : « la femme désirée à toutes les qualités, avant, après pfffftttttt ».
Alors si le fait de jouir fait disparaître cette servile attitude qui nous conduit à nous prosterner, plus ou moins littéralement, aux pieds de la belle, fait disparaître notre dépendance, on pourrait dire que, en quelque sorte, la jouissance nous libère, au moins temporairement.
Si on pousse le raisonnement, on peut en déduire que, pour être libéré, il suffit de jouir plusieurs fois par jour; aussi souvent que possible même…
Sans prôner une société de la baise, on peut vite en conclure que pour ne plus rien désirer il faut jouir sans jamais s’arrêter ; et comme une forme de sagesse consiste à ne plus rien désirer, et bien il me semble que : plus on jouit, plus on est sage !
Ce constat posé, une question me brûle les lèvres : « vous qui me lisez, êtes vous sûr(e)s d’être assez sages pour cela ? »

Mode dérision: off

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Commentaires
P
@Betty: alors tu es vraiment parfaite...
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B
Je suis TRES sage.
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P
@Rouge: excellent :)
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R
je ne sais pas si je peux affirmer que "plus on jouit, plus on est sage" mais par contre "moins on jouit, plus on est con!" ça c'est certain! ;-)
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P
@doigt de miel: oui, ;)
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